mardi 17 avril 2012

Human, after all.

Bonjour!

Aujourd'hui mon post sera dédié au film qui j'ai l'impression, est assez passé inaperçu: Numéro 9.



Numéro 9 est l'histoire d'une poupée (que vous pouvez voir sur la photo) qui se réveille un jour dans une mansarde. Un vieil homme est mort dans la pièce, et lorsqu'il ouvre la fenêtre, il s’aperçoit que le monde qu'il entoure est complétement dévasté. C'est alors qu'il va faire quelque rencontres qui vont le précipiter dans une aventure assez poétique.





Produit par Tim Burton, ce film porte bien une marque assez noire qui imprègne le film des son début. Une sorte de tristesse continue. Après tout, le film commence sur l’échec et la fin de la race humaine, et même du monde, laissant la Terre dans un champ de ruine ou aucune vie ne pousse.
L'univers du film s'établit dans les guerres mondiales, d'ailleurs, les tranchées, ainsi que les munitions aident a porter cette tristesse dont je parlais.

Le film est bien. Regardez le, car même si complètement fictif, il porte quelque part une vérité.
Car au final, ce qui caractérise les personnages, au delà de leur nature mécanique, c'est leur humanité. Chacun d'eux agissent comme nous nous agirions. Parfois guidées par la jalousie, ou par la peur, par l'envie ou encore le courage, ils sont des reproductions de nous, des symboles vivants de l'humanité qui n'est plus.






Portés chacun par des voix d'acteurs connus (9 est doublé par Elijah Wood), on apprécie d'autant plus la vo qui est de très bonne facture. La bande son aide aussi, et les animations sont très bien faites.

J'étais déjà assez curieux et optimiste vis a vis de ce film avant même de l’avoir vu, je suis convaincu maintenant qu'on peut le qualifier de bon, voir très bon film.

Il est sorti en 2009, et je n'en ai entendu que peu parler. C'est dommage. Des films comme ça, j'aimerais bien en voir plus au cinéma.





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